L’info a fait le tour hier, concernant la sélection nationale féminine qui n’a pas été inscrite pour les qualifications aux Jeux Olympiques de Paris, en 2024. A son arrivée, en ce début d’année 2023, le sélectionneur national et nouveau responsable du foot féminin Farid Benstiti s’est interrogé sur cette question, mais après vérification auprès de l’actuel directeur technique, Mustapha Biskri, il a fini par découvrir le pot aux roses.

La DTN, sous l’intérim de Toufik Korichi, et le secrétaire général, Mounir Debbichi, ont failli à leur mission en omettant ou en décidant de ne pas inscrire la sélection féminine pour les éliminatoires de cette compétition. De quel droit ont-ils pris une telle décision lourde de conséquence ? La logique et le bon sens auraient voulu que l’Algérie s’engage, comme toutes les nations qui se respectent, et au moment opportun elle met en place la sélection et entame la préparation.

D’ailleurs, le foot féminin, durant l’intérim de Korichi, a disparu des radars jusqu’à la venue du nouveau président, Djahid Zefizef, et la désignation d’un nouveau DTN, Mustapha Biskri. Les féminines ont, ainsi, été enterrées par le tandem Debbichi – Korichi, au moment où Laghouati Nassiba, membre de l’ancien et du nouveau BF, a brillé de son absence, alors qu’elle est chargée du football féminin. Un scandale qui a fait réagir la tutelle. Selon nos informations le président de la FAF, Djahid Zefizef a été convoqué place du 1er mai. Ce scandale de trop ne doit pas être accepté.