A l’évidence, le petit prétentieux de Samuel Eto’o joue au donneur de leçon oubliant qu’il a été dans la chute de son compatriote, Issa Hayatou de la présidence de la CAF. L’Histoire, elle n’oublie pas.
En expliquant que « ce n’est pas la meilleure équipe qui s’est qualifiée», pour le compte du Mondial entre l’Algérie et le Cameroun à la suite des monstrueuses erreurs d’arbitrage, du Gambien Bakary Gassama, le sélectionneur algérien s’est attiré les foudres par un communiqué de de la fédération camerounaise de football et de son président Samuel Eto’o. La Fecafoot souligne menaçante que « L’intéressé (Djamel Belmadi) sous-entend que le résultat du match aurait été faussé au détriment de l’Algérie par l’arbitre et une «conspiration de 2 ou 3 personnes ». Le Cameroun se réserve le droit de porter l’affaire dans les prochains jours devant la Commission d’éthique de la FIFA».
L’ancien attaquant international buteur du FC Barcelone «conteste ces allégations diffamatoires instillées de manière allusive et formulées de façon répétitive par les dirigeants algériens du football.» Il rappelle que «La Fecafoot est profondément attachée aux valeurs du sport. Elle rappelle que la glorieuse incertitude de notre sport peut réserver des résultats difficiles à accepter. Mais, qu’en toutes circonstances, doivent prévaloir le respect de la règle du jeu, la considération due à l’adversaire et l’acceptation du résultat. Il est du devoir de tout dirigeant de haut niveau de préparer les compétiteurs et le public à goûter, le cas échéant, à l’amertume de la défaite et éprouver la douleur d’une élimination au scénario improbable ». Quelle leçon de modestie ( (sic).
