Le gestionnaire démissionnaire de la FAF, Charaf-Eddine Amara ( ici gauche de notre photo en compagnie de Amar Bahloul, Président de la Ligue Régionale de Annaba) est persona non grata sur les plateaux et les émissions des chaînes de télévisions publiques. Une information confirmée par plusieurs confrères en « OFF », à tel point que lors de son récent déplace- ment à Oran, où il a visité le grand stade de la ville où les protégés de Belmadi comptent lancer leur opération recon- quête, Charaf-Eddine Amara, flanqué de Rachid Oukali, n’a bénéficié d’aucune couverture médiatique, si ce n’est le site de la FAF. Même l’agence officielle l’APS, habituée à reprendre les actualités publiées sur le site la FAF, n’a pas mis un mot sur le déplacement fédéral à Oran.
Déterminé à occuper le terrain médiatique de manière quasi-permanente, alors que durant une année, il avait fait d’Alger un lieu de transit, Charaf-Eddine Amara s’est lancé dans une folle course aux micros et aux déclarations même mensongères, depuis sa démission le 31 mars dernier. Celui qui avait annoncé des rencontres périodiques avec la presse dans son programme de candidat s’est rappelé au bon souvenir des médias. Cette semaine, il s’est rendu à deux occasions à la coupole où se déroule le tournoi de futsal de la presse organisée par l’ONJSA, pour déclarer qu’il va rester à la tête de l’instance au-delà du mois de juin, si l’AG le souhaite. Une propagande bien orchestrée, mais qui ne trompe que ceux qui veulent bien y croire.
Après les mille messages à la minute, reçus le lendemain de l’élimination du Mondial et les sanglots dans la voix, il reste accroché à l’espoir d’un seul coup de fil…Et rien à l’horizon n’indique qu’il le reçoive !
LAFORDASSE