ALG : Les coalisés n’ont pas été et ne seront pas des faiseurs de roi
AB. LAHOUARI

Ils sont incorrigibles, ces coalisés qui font semblant de ne pas comprendre que la Présidence de la FAF n’appartient pas aux réseaux sociaux ou aux youtubeurs payés à la vidéo dont certains ont eu mal à partir avec la justice de notre pays. Ils continuent à déverser de la désinformation et des insanités à la veille d’un nouveau départ du foot ball national avec les prochaines élections. Heureusement sans grands résultats. ( notre photo deux ex-gestionnaires de la FAF, au centre Mohamed Raouraoua et à droite Charaf Eddine Amara).
Ils savent bien qu’ils ne seront jamais des faiseurs de roi. La Présidence de la FAF est un poste hautement important qui ne peut être attribué qu’à des hommes de confiance et surtout pas à des vieux chevaux de retour, aux multiples échecs. Ceux qui ont conduit le football national à la catastrophe et amassé de petites fortunes durant une vingtaine d’années. Dans les médias privés (et uniquement privés), leurs soumis volontaires jouent aux pseudo-influenceurs qui ne font qu’amuser les téléspectateurs.Que n’a-t-on pas entendu sur leur favori, privé de son parrain et maître.
Pourtant, il est dépassé par les nouveaux enjeux du football moderne au sein des institutions interna- tionales et figé sur une vision rétrograde de l’avenir de notre football. Selon les uns, il est dans la réflexion, selon les autres, il va déposer dimanche prochain sa candidature. Ce qui implique qu’il aurait obtenu le feu vert, sinon, il placera un de ses soumis à Dely Brahim pour le coffre-fort. Or, rien n’est aussi faux. Il attend le coup de fil, comme il l’a fait autre- fois ou un poste de Président d’honneur qui lui a été refusé dans d’autres institutions.
Parallèlement, ces coalisés toujours dans la destruction et non dans la construction, après avoir titillé le sélectionneur Djamel Belmadi, n’hésitent pas à attaquer les potentiels futurs candidats. Ils jouent aux devins des règlements de la FAF, mais qui ne s’en servent que lorsque cela les arrange. Dans le contexte actuel, ils cherchent également à envoyer un message basé sur la peur et leur capacité de nuisance au futur président. Ils l’ont fait durant le mandat de Zetchi Kheïreddine qui en est sorti vainqueur.
Le prochain également le sera. L’Algérie est au changement et va de l’avant, dans tous les secteurs. Elle ne fait plus du rétropédalage.
AB. LAHOUARI