À la veille du coup d’envoi de la Coupe du monde des Clubs 2025, une déclaration inattendue de Bernardo Silva a retenu l’attention des médias.

Interrogé avant le match entre Manchester City et le Wydad Casablanca, le meneur de jeu portugais a révélé une conversation personnelle avec Riyad Mahrez au 02:00 sujet de la nouvelle recrue algérienne, Rayan Aït-Nouri. Transféré récemment de Wolverhampton à Manchester 02:00 City, Aït-Nouri pourrait faire ses premiers pas avec les Citizens à l’occasion de 02:00 cette rencontre très attendue. Son arrivée n’est pas passée inaperçue, et ses premiers pas sont scrutés avec beaucoup d’intérêt, d’autant plus après les propos touchants de Bernardo Silva. Le Portugais a confié : «Bien sûr, Riyad Mahrez m’a appelé dès que Rayan a signé avec nous. m’a dit très clairement : prends soin de lui, aide-le». Bernardo a ensuite souligné la nature profonde de son lien avec Mahrez, qu’il a décrit comme « un ami très proche, bien au-delà du football ».

«Rayan s’est vite intégré»
À propos d’Aït-Nouri, Silva s’est montré élogieux : «Rayan s’est très vite intégré aux entraînements. Il travaille dur, possède un grand talent, et nous ferons tout pour l’aider à s’adapter au sein du groupe», a-t-il dit et de poursuivre : «C’est naturel pour nous de l’épauler à ce stade. Nous serons toujours là s’il a besoin de quoi que ce soit. On espère qu’il jouera un rôle important pour permettre au club de continuer à briller». Bernardo Silva a également insisté sur l’importance du soutien collectif dans le vestiaire, en particulier pour les jeunes talents : «La réussite d’un groupe passe par la solidarité et le soutien entre coéquipiers». Ces déclarations tombent à un moment crucial, alors que les supporters de Manchester City attendent avec impatience les débuts d’Aït-Nouri sous ses nouvelles couleurs. Le soutien public d’une star comme Bernardo Silva, encouragé par l’appel personnel de Riyad Mahrez, ne fait que renforcer la pression…mais aussi la confiance autour du jeune latéral algérien

DE NOTRE ENVOYE SPECIAL À PHILADELPHIE, NAZIM BESSOL