
Le Feyenoord Rotterdam a réussi un joli coup en convainquant sa révélation algérienne, Anis Hadj Moussa, de prolonger son aventure au club jusqu’en juin 2030.
Une décision stratégique de la direction néerlandaise, qui mise sur la progression continue de l’ailier de 23 ans pour en faire l’un de ses actifs les plus précieux sur le marché des transferts. Recruté pour 3 millions d’euros seulement, en provenance d’un club belge de deuxième division, Hadj-Moussa s’est imposé en quelques mois comme l’un des éléments-clés du Feyenoord, enchaînant les performances de haut niveau et inscrivant déjà 6 buts depuis le début de la saison. Son impact immédiat a fait exploser sa valeur marchande, désormais estimée à 20 millions d’euros, selon le site spécialisé Transfermarkt. Séduit par son potentiel et ses progrès rapides, le club de Rotterdam entend capitaliser sur son talent. D’après le site néerlandais Voetbal4u, la direction du Feyenoord ambitionne de revendre Hadj Moussa à plus de 32 millions d’euros, ce qui constituerait le transfert le plus cher de l’histoire du club.
Propulser vers un grand d’Europe
Le plan du Feyenoord est clair : offrir à son international algérien une pleine saison de confiance et de visibilité, avant de le propulser vers un grand d’Europe pour un montant record. Le club néerlandais, réputé pour sa capacité à révéler et valoriser les jeunes talents, voit en Hadj Moussa un investissement à long terme, symbole d’une stratégie moderne mêlant rendement sportif et intelligence économique. À seulement 23 ans, l’ancien espoir algérien attire déjà l’attention de plusieurs recruteurs européens. Et s’il poursuit sur sa lancée, Anis Hadj Moussa pourra bien devenir le prochain grand transfert africain du football néerlandais, tout en s’affirmant comme un pilier de la nouvelle génération des Verts.
DJAMEL O.



















