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ALG : Vers une réouverture du 5-Juillet sans les tribunes supérieures

MOHAMED MALIK

Avec la désignation de Walid Mammeri à la tête de l’Office du complexe olympique (OCO) Mohamed Boudiaf, peut-on s’attendre à un nouveau départ du stade du 5 juillet 1962 ?

C’est ce qui est, en tous les cas, attendu de la part du nouveau directeur général de l’Office du complexe olympique (OCO) Mohamed Boudiaf, Walid Mammeri installé en ce début de semaine par le secrétaire général du Ministère des sports, au lendemain du placement en détention provisoire de quatre responsables dudit office, dont le premier responsable Yassine Kada.

Faisant déjà partie de l’encadrement de l’office en qualité d’assistant du Directeur général chargé de la communication, Walid Mammeri est titulaire d’une licence en Sciences politiques et relations internationales de l’Université d’Alger. Il a eu une expérience longue et diversifiée, notamment dans le monde des médias et de l’audiovisuel, mais également dans la gestion.

Sa connaissance de la réalité de l’office et du stade du 5 juillet en particulier, lui donne un certain avantage pour redresser la situation et permettre à cet établissement de repartir du bon pied.

Mais pour revenir à l’état des lieux du stade Olympique, on a appris que la pelouse a été semée de nouveau, comme celle du stade Nelson Mandela de Baraki. Selon nos sources, il faudra attendre la mi-octobre pour se prononcer sur leur utilisation.

Par contre, les travaux d’éclairage du stade du 5 juillet sont en cours et une fois terminés, l’enceinte pourra être utilisée, mais sans les tribunes supérieures qui resteront fermées jusqu’à ce que tous les travaux de reprise et de consolidation des barreaudages terminés et contrôlés par les services concernés (dont le CTC).

Des instructions ont, d’ailleurs été données, pour que le stade ne sera utilisé que lorsque toutes les conditions seront réunies en matière de fonctionnalité, confort et sécurité.

Les clubs algérois devront donc patienter quelques semaines pour évoluer de nouveau dans des stades aux normes et devant leurs supporters dont le sentiment d’exaspération ne fait que monter à chaque journée de championnat.

 

 

 

 

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