Avant de lever le trophée de la Coupe Intercontinentale de la FIFA dans le ciel de Doha, les joueurs du Paris Saint-Germain devaient d’abord élever le gardien russe Matvey Safonov au ciel après avoir arrêté quatre tirs au but (1 – 1, 3 à 1) face au CR Flamengo.

Le stade Ahmad-bin-Ali, à Al-Rayyan, a fait finalement le plein (ils étaient 42 140 spectateurs) ce mercredi 17 décembre pour la finale de la Coupe Intercontinentale de la FIFA entre le Paris Saint-Germain et le CR Flamengo, après avoir connu des affluences très modestes lors des deux sorties des Cariocas face au Cruz Azul (2 – 1) et Pyramids (2 – 0).

Les parisiens, vainqueurs de la Ligue des Champions, ont dû attendre la séance des tirs au but pour décrocher leur sixième titre de l’année 2025, et confier leur destin au gardien russe Matvey Safonov, préféré à l’international français Lucas Chevallier, qui rentre dans l’histoire du club et de la compétition en arrêtant quatre penalties lors de la séance des tirs au but, qui a désigné le vainqueur final, étant donné que la partie s’est terminée sur un score de parité (1 – 1) après les prolongations.

Les parisiens, qui se sont vu refusés un but de Fabian à la (10e) suite à une erreur du gardien Rossi après consultation de la VAR, sont les premiers à ouvrir la marque par Khvara qui intercepte un centre de Doué, malgré la détente désespérée du gardien (38e).

Les brésiliens, qui n’ont pas démérité en piquant leurs adversaires par des contres dangereux, obtiennent un penalty suite à une faute sur l’uruguayen Giorgian de Arrascaetta à l’heure de jeu. La VAR confirme la faute et Jorginho transforme l’essai en égalisation (62e).

Les parisiens poussent dans les dernières minutes, notamment après la rentrée de Barcola et sont à deux doigts d’en finir, mais la reprise du capitaine Marquinhos est détournée loin du cadre (90e).

Après des prolongations sans changement au score, Safonov rentre en scène pour arrêter les tentatives de Saul Niguez, Pedo, Léo Pereira et Luiz Araujo, après l’unique but encaissé de Nicolas de la Cruz.

Le PSG peut jubiler et Safonov est déjà dans l’histoire pour une soirée éblouissante qui clôture une année de rêve pour le club parisien sous le règne qatari.