En reprenant les commandes du club, après plusieurs démissions et mises à l’écart, Abdelhakim Serrar pense confier la barre technique de l’Entente de Sétif au Français Thierry Frogger avec lequel il a travaillé du temps où il était directeur général de l’USMA. L’on parle aussi également d’Hubert Velud qui avait dirigé l’ESS mais la piste de Frogger est la plus solide. Ayant certainement retenu la leçon du Tunisien Nabil Kouki qui ne lui permettait pas de s’immiscer dans le volet technique, Serrar voudrait travailler avec Bendris et Zorgane, des enfants du club… Sauf qu’il ne manque pas de culot. L’Entente étant plongée dans un gouffre financier et d’énormes dettes , il cherche à recruter des coachs étrangers en devises. Ces derniers ont trouvé en Algérie une manne qui leur sera versée quelle que soit la durée de leur contrat grâce à la vigilance de la FIFA. Quant aux dirigeants de clubs, ce n’est pas eux qui régalent, ils quittent souvent le club sans verser le moindre centime.