Après le « plus ça va, moins ça va » qui se voulait annonciateur du chant du cygne, à quelques heures du match de Maputo, Madame Soleil et tous les sous-trai- tants ont vraiment perdu la boussole à la suite de l’excel- lente victoire de l’Algérie face au Mozambique (2-0). Mais, elle s’est trouvée une porte dérobée de sortie pour transformer, la sordide campagne anti-Belmadi entamée depuis cinq ans et dont elle est l’une des porte-voix, en « un débat sans fond ni fin entre deux camps inconci- liables ».
Atteinte de mégalomanie, elle s’est donnée le beau rôle, comme modérateur en situant aujourd’hui le problème entre les partisans du résultat et ceux de la manière. De quoi faire rire même ceux qui ont les lèvres gercées.
Que ne l’a-t-on pas entendu sur les plateaux TV, au cours des émissions « bidons » ,ou encore sur les réseaux sociaux déversés avec rage des mensonges éhontés pour désinformer l’opinion sportive. En dépit du bon sens, elle jetait l’opprobre sur tout ce qui est Vert. On l’a enten- du donner des leçons de bonne conduite à Djamel Belmadi pour le décrédibiliser, l’accusant de stresser ses joueurs qui ne parvenaient pas à s’exprimer totalement. Le coach de l’Athlético Madrid, Diego Simeone ,a de quoi s’arracher les cheveux. Madame Soleil ferait mieux de présenter ses excuses au sélectionneur Djamel Belmadi et à son groupe. Pour les costauds, il n’y a pas de débat possible avec les dénégateurs. Un leader chinois, Deng Xiaoping, a fait sienne cette métaphore «qu’importe que la couleur du chat soit noir ou blanc pourvu qu’il attrape les souris »

Et si nous devons la transposer, ce sera « qu’importe le résultat ou la manière du moment qu’ils permettent la victoire. » Maintenant, silence les sous-traitants, laissez nos supporters savourer ce beau succès.