DESINTOX. Les gros mensonges et les manipula- tions sont devenus légion de nos jours. Il ne se passe pas un jour sans que les médias sous-traitants racontent des his- toires à dormir debout dans le seul but de décrédibiliser ceux qui ont présidé la FAF depuis 2017 et zapper ceux qui ont conduit le football national à la catastrophe de 2002 à 2017 avant le changement au sein de l’instance fédérale. Et ça, on ne le répé- tera jamais assez : Botola continuera de faire la chasse aux falsificateurs de l’information.
La dernière en date est relative à l’équipement des arbitres. Un chargé de mission, certainement aigri, n’a pas hésité toute honte bue à écrire que depuis 2017, les arbitres n’ont pas reçu leur équipement, un mensonge grossier vite démenti par des membres du corps arbitral qui ont contacté Botola pour rétablir la vérité. Un ancien referee lui a déclaré « On a eu nos équipements flambant neuf en 2018 lorsque Amalou présidait la CFA », confie à Botola un ancien referee.
Et v’lan dans le bec du chargé de mission qui a omis volontairement de mentionner que jusqu’en 2016, les arbitres payaient de leur propre poche les équipements dont le montant oscillait entre 50 et 80.000 DA. Une somme ponctionnée directement de leurs indemnités par la LFP, nonobstant le contrat Adidas qu’avait signé la FAF à l’époque et qui prenait en charge les équi- pements des arbitres gratuitement.
Par conséquent, dire qu’après 2017 les arbitres n’ont pas eu leur équipement et occulter que ces derniers payaient rubis sur l’ongle leur équipement est une gros- sière manipulation.
– LAFORDASSE
