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ALG : Le point de vue de l’influenceur Mustapha Mazouzi

BO

« Si je comprends bien, YO (simples initiales), le mal de notre football a commencé en 2017. Donc avant, tout était nickel. Pas de violence dans les stades, pas de corruption, l’arbitrage était excellent, la programmation des matchs était respectée à la lettre, les coupes d’ Afrique des nations étaient gagnées à chaque édition, et l’ Algérie a eu l’ honneur d’organiser les CAN 2015, 2017. Bien évidemment Raouraoua contrairement à Zefizef a gagné son élection face à Lakjaa sur un score fleuve de 41 voix contre seulement 7 pour son adversaire marocain ! Bref et j’en passe. Un diagnostic doit être établi honnêtement. Désolé de contredire YO, mais croire encore à l’homme providentiel, en la personne de Raouraoua, pour sauver notre sport roi, c’est comme attendre le père Noël tout près de la cheminée.
La responsabilité de ce marasme est partagée par tous les acteurs du football sans exception à des degrés différents de responsabilité certes, mais dire. que tout était blanc du temps de Raouraoua et que ses successeurs ont fait pire, non désolé. Zetchi a réussi dans un mandat marqué par le Hirak et le COVID 19 à ramener une coupe d’Afrique des nations sans être membre du Comité exécutif de la CAF. L’Algérie a gagné l’orga- nisation du CHAN et de la CAN U17. La construction des centres régionaux comme celui de Tlemcen, l’ouverture de l’académie de Sidi Bel Abbès ont été des actions positives quand-même. Bon, il est vrai que donner un avis objectif dans cette grisaille dans laquelle notre football nage peut paraître subjectif. Mais enfin, il faut arrêter la marmelade. Sportivement. »

MUSTAPHA MAZOUZI

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