
Tout est permis à la Fédération algérienne de football. Il en est ainsi avec une forte propension de personnes lors des voyages officiels à l’étranger, notamment lors de la Coupe arabe à Doha, où le SG s’est déplacé avec son financier. Quelques officiels des Ligues montrent ouvertement leur mécontentement en considérant que « des membres de la FAF ont fait de Dely Brahim (siège de la FAF) un lieu de transit seulement ». De surcroît, Botola croit savoir que des Ligues ont été sommées de verser pour cette saison «un impôt du football » (sic) à la FAF en fonction de leurs statuts (wilaya, régional, inter-régions et professionnel), alors que certaines d’entre elles ont d’énormes difficultés à gérer la maison. La Ligue professionnelle aurait envoyé un chèque de 4 milliards, les autres suivent la flèche en fonction de leurs bourses. Et pourtant l’État est plus que jamais généreux financièrement avec le football.






























