La campagne insidieuse contre le Président du Conseil d’Administration du MC Alger, Amar Brahmia avec des titres racoleurs continue pour faire pression sur la Sonatrach. Le but est de l’écarter et permettre à un groupuscule d’affairistes à s’accaparer des différents projets qui se chiffrent à des milliards. Un quotidien de la place, expert en manipulation primaire, revend la même marchandise, avec cette fois-ci, un joueur aigri, Mehdi Benaldjia, que le MC Alger a refusé de renouveler son contrat ( et non l’inverse !). En effet, il ne voulait pas revoir son salaire à la baisse comme la majorité de ses coéquipiers qui avaient compris que le club de la Casbah, propriété de Sonatach, ne voulait plus jouer à la poule aux œufs d’or. Bien entendu, ce joueur n’a pas cité une seule fois le CA, composé de personnes honnêtes, tel le fils du Moudjahed, Bellamane, ni Amar Brahmia. Il s’en est pris à ses anciens coéquipiers qu’ils accusent de ne pas avoir de personnalité.»
Pourtant, les jeunes lancés dans le bain avec un salaire minimum, ont plus que de la personnalité et sur le terrain, ils font le bonheur des supporters réalisant de fantastiques résultats. Le seul tort que l’on peut reprocher à Amar Brahmia est d’avoir aboli les privilèges et ses propos méritent d’être en-tendus. « Je suis un homme de loi ; je ne peux pas être mêlé à des affaires de corruption ou d’enrichissement illicites. Je peux accepter toutes les critiques mais pas qu’on me mêle moi ou ma famille à ce genre d’affaire.» Amar Brahmia ne s’accroche pas au fauteuil et il n’a jamais été question pour le moment de son départ et si par hasard, la volonté de Sonatrach est de le remplacer, il précise : « je suis un employé du MCA, j’ai appliqué une politique de réduction des salaires comme demandé par Sonatrach, mais l’actionnaire majoritaire est libre de prendre la décision qui lui semble la bonne, à l’occasion de la prochaine réunion de l’assemblée générale des actionnaires. » La balle est dans le camp du Président Directeur Général de la Sonatrach. Et de lui seul !
– LAFORDASSE
