Les Youtubeurs algériens résidant à l’étranger, notamment Hassidz, Fichebka et FelArrida, ont passé une nuit blanche pour fêter comme il se doit la victoire de l’équipe nationale contre le Sénégal (1-0). Unanimement, ils ont félicité l’architecte de ce succès, Djamel Belmadi, et ses boys, avant de « fracasser » la « bande des 7 », les charlatans des plateaux, qui depuis belle lurette tente de déstabiliser les Verts. Le hurleur de Doha, à la réputation surfaite qui a joué au chef de bande, et ses acolytes avaient comme mission d’installer à la tête de la FAF, le candidat unique, Walid Sadi, et de pousser vers la porte de sortie le sélectionneur national. La victoire ramenée du stade Abdoulaye-Wade de Diamniadio a totalement bouleversé le plan établi par leur parrain. Aujourd’hui, refroidis, ils sont cloîtrés et muets en attente d’autres ordres pour la CAN de Côte d’Ivoire, en janvier prochain.
Le travail accompli, le sélectionneur national, de retour de Dakar, a souligné devant plusieurs chaînes –TV tout le mal que cette bande des 7 a fait et fera aux Verts si elle continue, en tout impunité, à désinformer et à manipuler l’opinion sportive. Elle possède une capacité de nuisance nourrie au mensonge permanent au niveau des plateaux où tout débat contradictoire est exclu. Les directeurs de ses TV en portent une grande responsabilité et bénéficient des faiblesses de l’ARAV qui semble se désintéresser des graves préjudices que porte cette bande à l’éducation de notre jeunesse. Pourtant, le hurleur de Doha sème la discorde et la division, introduit le doute dans les esprits, alors qu’il est loin, trop loin de la réalité algérienne et du football national, résidant à l’étranger onze mois sur douze. Il se dit intouchable et se vante d’être très proche des cercles du pouvoir, tout simplement parce qu’il a serré quelques mains.
Pour l’ensemble de la profession, ce n’est qu’un simple commentateur-TV de match et non un analyste spécialisé en politique sportive ou animateur reconnu dans le monde arabe. Et, le sélectionneur national a lancé à plusieurs reprises le danger que représente cette bande des 7 dont on ne souhaite pas le même destin que la bande des 4. Mais, s’il s’avère que l’un d’entre-eux a fourni la composition de l’équipe algérienne quelques heures avant le match contre le Sénégal, comme l’a souligné Djamel Belmadi… Il y a lieu donc de doubler de vigilance à quelques mois de la phase finale de la CAN, en Côte d’Ivoire. L’équipe nationale est un bijou de famille de 46 millions d’Algériens tout comme la Sonatrach. Qui s’y frotte s’y pique !
LAFORDASSE