. ALG : Le 4 septembre, un point de rupture avec un catastrophique héritage | Foot Afrique
AlgérieFootball algérienLes infos

ALG : Le 4 septembre, un point de rupture avec un catastrophique héritage

AB. LAHOUARI

Les semeurs de panique sont dans l’angoisse. Ils jouent leur dernière carte et perdront définitivement le monopole qu’ils croyaient avoir sur le football national, après le 4 septembre prochain. Ils sont dans la peur de voir leur (futur) candidat éloigné à tout jamais de la maison de Dely Brahim. Ils savent que l’opinion sportive a tranché : il n’a ni le profil, ni le charisme pour assurer la période de transition. Une période qui marquera certainement, un point de rupture, avec le catastrophique héritage laissé par ceux qui avaient la gestion de la balle ronde entre 2000 et 2017.

Depuis l’annonce du chronogramme de la FAF pour les élections, ces semeurs de troubles ratissent large dans la désinformation et la discréditation. Ils tirent à boulets rouges sur la fédération – qui a saisi la justice pour diffamation -alors qu’elle est en stand-by et expédie les affaires courantes ; sur les (futurs) candidats alors qu’ils n’ont pas encore déposé leurs dossiers et peinent à dresser une liste de 17 membres ; sur la Commission de candidature avec à sa tête, Ali Malek, le président de la Ligue inter-ré- gions, dont nul ne peut nier ses compétences, alors qu’elle n’a pas encore traité un seul document.

Pourtant, des explications ont été fournies sur les raisons qui font qu’à toute situation exceptionnelle, il y a lieu de prendre des mesures exceptionnelles. Une règle universellement approuvée pour dénouer une crise ou tout simplement, sortir de tout imbroglio. Ainsi, la Fifa aurait compris et donné son feu vert pour en terminer avec cette instabilité qui mine la fédération nationale. Celle-ci, à l’inverse des autres du continent, n’a jamais été « punie» par l’instauration d’un comité de normalisation, comme cela été pour le Sénégal (2009), l’Egypte ou la Côte d’Ivoire, vers la fin des années 2020.

Alors, pas de panique, tout baigne. Qui vivra verra !
– AB. LAHOUARI

Bouton retour en haut de la page

Adblock détecté

S'il vous plaît envisager de nous soutenir en désactivant votre bloqueur de publicité