Au secours ! Les issabistes, leurs réseaux et leurs relais médiatiques profitent de l’élimination précoce des Verts en Coupe d’Afrique des Nations pour éliminer des éléments de l’équipe de Djamel Belmadi afin de le fragiliser. Ils ont repris, les accusations et les mensonges du Président de la FAF, Charaf Eddine, comme par exemple, sur l’état de la pelouse alors que le stade de Japoma était interdit à toute visite et qu’il avait abrité la finale du CHAN 2020. Une manière pour lui de se disculper.

Si ces issabistes n’osent pas encore affronter de face, Djamel Belmadi, du fait du soutien du président de la République, Abdelmajid Tebboune et de la vox-populi, ils font diversion. Ils parlent de complot contre le président de la FAF, Charaf Eddine Amara. Ils balancent à tout va sur le Bureau Fédéral qu’ils accusent de tous les maux alors que son rôle est réduit à une peau de chagrin. Ils applaudissent à l’ingérence dans la partie technique réservée exclusivement au Directeur Technique et au sélectionneur.

Devant cette situation, la vox-populi n’est pas dupe. Elle a depuis longtemps tiré la sonnette d’alarme pour dénoncer, le travail en coulisse de Charaf Eddine Amara dont la gestion globale conduit à la déliquescence du développement du football national. Manipulateur, il incrimine le manager général, Amine Labdi d’avoir mal préparé les voyages de l’équipe nationale à Doha et à Douala. Un mensonge éhonté. Et cela pour intégrer un des siens.

Toutefois, ce qui est encore plus désolant, ce sont les relais des issabistes à la recherche de leurs privilèges perdus. Actuellement, ils font la tournée des plateaux-TV pour soutenir le retour de la bande des quatre, réduite à trois (Raouraoua, Mecherara, Berraf), les fossoyeurs du Mouvement sportif National. Rien que ça et pas un mot sur les raisons qui font que Djamel Belmadi se tient toujours à distance du locataire de Dely Brahim.